Belles, intelligentes, riches ou non, il semble que tôt ou tard, les femmes soient toutes châtiées par le cruel reflet de leur miroir. À partir de ce moment, on dirait que la méchanceté de la glace s’accentue chaque matin et l’idée d’une chirurgie esthétique devient une obsession. Mais où commencer, comment éviter l’horreur et à qui se fier ?

Nous avons rencontré Nancy, une Québécoise vivant en Floride depuis presque 30 ans. Elle nous raconte en détail son expérience récente dans le but d’aider les femmes à retrouver l’harmonie avec leur miroir et avec elles-mêmes…

Les embarras

Nancy est une professionnelle de 52 ans qui n’a aucunement envie d’avoir l’air aussi jeune que sa propre fille. Cependant, depuis quatre ou cinq ans, elle était devenue pratiquement obsédée par l’apparence que lui ont conférée, certains gènes du côté de sa mère.

« Je n’ai jamais aimé mon menton ni ma gorge, mais ces dernières années, j’avais perdu un peu de poids et cette peau lâche (sous le menton) était de-venue une vraie obsession. J’avais l’impression d’être prisonnière de mon

apparence, ma confiance était réduite à zéro, j’étouffais » raconte-t-elle.

D’un autre côté, elle craignait passer sous le bistouri car perturbée par les chirurgies exagérées et les visages peu harmonieux, voire même caricatures-ques, que l’on rencontre parfois. Nancy ne voulait surtout pas ce genre de résultat.

Elle avait rencontré quatre chirur-giens différents, exploré plusieurs cliniques avec méthodes bien publicisées, fait d’innombrables recher-ches pour finalement, décider de ne rien faire !

Enfin prête

Le printemps dernier, elle était résignée de mettre un terme à sa mi-sère. De retour aux entrevues avec les chirurgiens, voilà qu’elle rencontre chez Forever Trim, un médecin qu’elle avait déjà consulté lors de ses recherches il y a quatre ans. Et cette fois-ci, elle signe le contrat !

« Premièrement, ce médecin m’a dit qu’il ne me donnera pas des traits ou attributs que je n’ai jamais eus. Bon point. Aussi, il m’a demandé, tout comme il y a quatre ans, ce qui me perturbait sur mon visage, il m’a écouté. Ce n’est pas lui qui a dicté ce qui était à améliorer, c’était ma perception de mon visage qui était importante. »

Effectivement, il aurait pu vendre des procédures supplémentaires mais Nancy faisait face à un des médecins intègres et honnêtes qui pratiquent dans la région. « Aussi, je suis hyper sensible et nerveuse lorsqu’il s’agit

de mon corps. Une simple piqure au doigt me terrorise et me fait mal. Je voulais être complètement endormie mais il m’a convaincue du contraire. »

Un mini face-lift ne demande qu’une anesthésie locale, rendant ainsi la récupération beaucoup plus rapide. En moins de trois heures, Nancy avait un visage rafraichi, son menton et gorge resserrés, ses paupières supé-rieures remontées et une nouvelle vie commençait.

Environ dix jours plus tard, on a

retiré les points et les résultats sont

exceptionnels !.

Les conseils

« Je dois dire que le plus inconfor-table dans toute mon expérience, c’est la chaise (genre celle d’un dentiste) sur laquelle j’ai passé ces trois heures. Mon dos n’a pas apprécié et je suggère de le mentionner au chirurgien si vous avez des problèmes de ce côté. Mais pour le reste, c’est fantastique ! Je chantais lors de la chirurgie alors vous pouvez imaginer… Je suis tellement heureuse et je voudrais tellement que toutes les femmes puissent recommencer à s’aimer, à vivre et à s’épa-nouir ! »

En résumé, il est important de déterminer l’apparence visée et il faut être logique. Nancy ne voulait pas de produits injectables et renouvelables. Elle se voulait au naturel tout en respectant son âge. Le résultat est fabuleux.

Faites vos recherches, consultez différents médecins et posez beaucoup de questions, comparez.

Si vous avez l’honneur de rencon-

trer cette jeune dame resplendissante, volontaire, débordante d’allégresse et d’énergie, vous aussi serez convaincue que le miroir magique, il existe vraiment !

COCKTAIL
15 MARS à 19h
RSVP
954.585.0889

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