Depuis plus d’un demi-siècle les recherches relatives aux interactions entre la dynamique psychologique et le fonctionnement de l’organisme humain, recherches dites en psychosomatique, ont permis de mettre en évidence qu’il existe de véritables liens de cause à effet entre les deux.
La colonne vertébrale est un organe osseux et articulaire qui est aussi appelé « rachis » et qui se définit comme l’organe qui soutient la tête et qui est rattaché aux membres par les ceintures scapulaire et pelvienne. Ainsi, dans le cas d’un disfonctionnement de cet organe souvent considéré comme l’axe de la vie, on note que « d’une façon générale on rencontre ce genre d’atteinte chez des personnes qui sont dans l’incapacité de faire face, seules, aux responsabilités et aux engagements qui leur incombent. »
Il faut noter que pour bien analyser les corrélations psychosomatiques pouvant exister dans ce cas, il est recommandé de se reporter plus précisément aux atteintes spécifiques diagnostiquées chez la « victime », comme par exemple « les sciatiques, les dorsalgies, les cervicalgies, les déviations de la colonne vertébrale, les scolioses, ou encore la destruction d’un disque intervertébral. »
Sur ce, je vous dis au mois prochain en vous espérant heureux et en santé.
Extrait de mon livre « Les maladies et leurs émotions » aux Éditions de Mortagne, Boucherville, Qc. Canada (page 123)
