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samedi, avril 20, 2024

CONQUÊTE DE L’ESPACE DEPUIS LA FLORIDE

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Le dimanche 19 janvier dernier, la fusée SpaceX, propulsant la capsule Crew Dragon destinée à transporter des astronautes, a explosé moins de deux minutes après son lancement du Centre spatial Kennedy en Floride.
Dans la salle de contrôle, une ruée d’applaudissements et de cris de joie se sont fait entendre car c’était exactement ce que l’équipe espérait accomplir !
Depuis la fin du programme Space Shuttle de la NASA (1981-2011), les astronautes doivent compter sur les fusées russes Soyouz pour se rendre dans l’espace. Et Elon Musk, avec son programme SpaceX, espère donner vie à une nouvelle ère spatiale américaine.


Fin des tests
Le but de l’explosion la semaine dernière était d’assurer que la capsule Crew Dragon, conçue pour amener des astronautes à la Station spa-tiale internationale, se séparerait de la fusée en cas de défaillance lors du lancement.
Des mannequins anthropométriques étaient placés dans la capsule pour mesurer et étudier l’impact qu’un équipage subirait lors d’une telle manœuvre de sauvetage.
Les prochaines étapes comprennent des tests supplémentaires de parachute et l’analyse des données recueillies à partir de la capsule Crew Dragon.
À la suite de ce succès, Musk, PDG de SpaceX et architecte des voitures Tesla, a déclaré qu’il était désormais « probable » que la première mission avec des astronautes à bord aurait lieu dès le deuxième trimestre de 2020.

Des Canadiens parmi la prochaine génération d’astronautes
Entre temps, NASA a présenté sa plus récente cuvée de 13 astronautes diplômés, éligibles à la sélection pour participer à des missions vers la Station spatiale internationale (SSI), des missions Artemis sur la lune et même des missions habitées sur Mars.

Le groupe comprend six femmes et sept hommes et deux des gradués viennent de l’Agence spatiale canadienne ! Il s’agit de Joshua Kutryk de Fort Saskatchewan en Alberta, et de Jennifer Sidey-Gibbons, originaire de Calgary en Alberta. Jennifer est diplômée de l’Université McGill.

Ils ont été choisis parmi un bassin initial de plus de 18 000 candidats. Dans le cadre du processus d’élimination, les postulants ont dû réussir une formation en robotique; systèmes utilisés à bord de la station spatiale; survivre aux exercices qui simulent la sortie dans l’espace; piloter des jets T-38 et apprendre la langue russe à cause du partenariat de la NASA avec Roscosmos pour les lancements à la station spatiale en Russie et du besoin de communiquer avec les astronautes russes à bord de la SSI.

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