Nous savons depuis la nuit des temps que lorsque le moral est bas, la grippe et/ou le rhume nous guette. Les recherches actuelles en psychosomatique, c’est-à-dire la relation entre le psychologique et le physique, ont permis de mettre en évidence que le fait de vivre une surcharge émotionnelle peut perturber le bon fonctionnement d’un organe en particulier et de le rendre vulnérable aux virus, microbes et bactéries et par conséquent provoquer une maladie.
Ainsi, dans le cas d’une grippe, on constate qu’elle se déclare généralement quand le sujet se trouve dans une situation de crainte et de résistance relativement aux efforts à fournir dans la routine de la vie quotidienne. Psychologiquement, il n’est plus capable de faire un pas de plus et baisse les bras. Il a besoin qu’on le seconde et qu’on l’encourage à l’extrême, il veut être materné. Il y a chez le sujet en question une sorte de « raz-le-bol » avec une perte de vitalité générale qui le rend vulnérable à l’agression des virus responsables de la grippe.
Sur ce, je vous souhaite de passer de bonnes Fêtes de fin d’année et vous dis à l’année prochaine en vous espérant heureux et en santé.
Extrait de mon livre « Les maladies et leurs émotions » aux Éditions de Mortagne, Boucherville, Qc. Canada (page 194).
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